Le problème concerne l’attente d’efficacité :
Pourtant, c’est assez fréquent qu’une pratique ne produise pas l’effet prévu.
- La relaxation peut générer du stress.
- Les pratiques de gratitude de la tristesse.
- L’exploration des forces peut activer le sentiment d’être incapable etc…
un effet unique pour tout le monde.
Avec l’habitude, on est tranquillisé à cet endroit-là.On ne le prend pas comme un échec personnel.
Cela parle rarement de nous ou de nos compétences.
dont cette personne est entrée en résonance avec cette pratique.
On peut la mettre à extraire l’information utile de cette expérience pour permettre à la personne de la traiter et d’en faire quelque chose.
lors d’une pratique de relaxation.
Ce n’est pas un échec.
C’est une information précieuse sur le fait qu’elle projette un enjeu de réussite.
Je dois BIEN me relaxer. Je dois BIEN faire. Et si cela ne marche pas, c’est grave.
Elle utilise la relaxation pour BIEN FAIRE et pas pour LACHER PRISE.
Or, pour se détendre, nous avons justement besoin de lâcher cet enjeu de réussite.
Si c’est ce qu’elle doit travailler, rien de plus normal que sa difficulté émerge dans le processus de relaxation.
Cela ouvre une excellente opportunité de travailler ce schéma.
Nous pouvons l’apaiser en lui rappelant qu’il n’y a rien à réussir ou à échouer.
Que c’est un vécu normal et fréquent.
Qu’il faut pratiquer une dizaine de fois pour intégrer cet outil.
des forces et qualités en elle.
Elle nous dit « je ne suis pas prête à adopter une vision positive sur moi-même ».
Nous devons ainsi lâcher l’exploration des forces pour travailler cet obstacle de manière prioritaire sans quoi la personne se mettra systématiquement en échec dans l’exploration de ses forces.
mais de la rencontre entre la personne et l’outil.
Notre rôle n’est pas de proposer des pratiques qui marchent à chaque fois.
Mais de pouvoir entendre l’information derrière ce qui a fait difficulté.
Pour ensuite la restituer sous une forme entendable et utile à l’accompagnement.
mais le processus de cheminement.
Lâcher ce micro-objectif d’efficacité permet de s’ouvrir à un objectif plus global et réaliste.
Qui est de mettre la personne dans une dynamique d’exploration et de cheminement.
tout fait information.
Ils s’expérimentent et s’intègrent par la pratique et les temps de débriefing.
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Joran Farnier
Psychologue, enseignant, formateur
Passionné par la psychologie, j’ai fondé l’Institut de Psychologie Positive Appliquée pour faire le pont entre les recherches et la pratique de terrain.
Nous formons les professionnels de l'accompagnement pour leur permettre d'exercer avec plus de clarté, d'efficacité et de confort dans un métier complexe.